Wittgenstein affirmait qu’un livre de philosophie pourrait être constitué entièrement de blagues.
Bonne nouvelle : voici le défi relevé. Mes blagues, ma philosophie rassemble les histoires drôles, les provocations ou les insultes qui parsèment les ouvrages de la star de la « pop philosophie », pimentées de quelques inédits. Autant de prétextes pour aborder certaines questions fondamentales qui ont trait à la philosophie, à la politique, à la psychanalyse, à la sexualité.
Et quelle est la mauvaise nouvelle ? Il n’y en a pas. Mais il y a là la quintessence de Žižek, politiquement tout à fait incorrect, ardent militant d’une philosophie décomplexée qui ne sépare pas le sérieux de l’humour. Ou comment comprendre la célèbre dialectique de Hegel à travers le non moins célèbre « Pas ce soir, chéri, j’ai la migraine… »