La deuxième partie, plus substantielle, est consacrée aux multiples figures qui se situent à la périphérie de l’idéal au sens strict, en vue d’établir dans quelle mesure elles sont porteuses d’indications à propos de l’existence accomplie. L’examen porte entre autres sur les considérations d’Aristote à propos de la condition féminine, de l’enfance, de la vieillesse et de la servilité.
La conclusion qui résulte de cette démarche prend la forme d’une reprise de l’idéal, cette fois exposé au moyen des éléments définis dans la seconde partie. La description obtenue, plutôt que d’être axée sur le contenu du bonheur tel que le présentent les Éthiques, porte sur les caractéristiques de la personne qui le réalise, donnant à voir celle-ci selon un éclairage nouveau.